Hélas, pauvre Yorick présente un hommage à Laurence Sterne qui dans Vie et Opinions de Tristram Shandy (1760) invite son lecteur à « discerner les opinions et vérités encore mystiques cachées sous le voile de sa page noire ». Ainsi il ponctue le texte de son récit de dessins, de filets ou de signes typographiques qui tantôt interrompent le discours, tantôt l’illustrent ou le complètent. Ici, la page noire et blanche, qui forme l’image d’une dalle, évoque la tombe de « ce pauvreYorick » constituant un arrêt brutal dans le cours du récit.